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lundi, décembre 20, 2004

R A L F

Vous connaissez Ralf ?

Non, ce n'est pas un héros de bande-dessinnée, ni un animateur de supermarché.
En fait ce n'est pas un être vivant, ni un objet.

C'est juste un état d'esprit momentanné, celui qui succède au stade RLC, et qui fait qu'on en a vraiment marre, jusqu'à ras le bol complet et qui vous empêche d'aller plus loin.

Et aller plus loin dans ces conditions de toute manière n'amène à rien de bon. Peu d'alternatives s'offrent à vous :
  • Vous suicider au PQ
  • Faire un carnage pour exprimer votre dégoût de la sistuation actuelle
  • Entrer dans une phase de blaze attitude totale et rester immergé dans votre petite bulle sans vous soucier du monde extérier (choix de 99,7% des personnes au stade RALF)
Bon, soyez tranquilles, je n'en suis pas encore à ce stade, mais des fois je me dis que ça pourrait surgir à l'improviste...

mercredi, décembre 15, 2004

What da fuck ?

J'avais prévu une petite what da sur deux petites pétasses qui n'avaient pas daigné ramasser leur emballage de Quick qu'elles avaient laissé tomber sur le quai de la gare, mais en fait je me sens bien chaud pour la communication contre le piratage qu'il y a en ce moment.

Oui, je ne sais pas si vous avez remarqué, mais ils s'y remettent, là, juste avant les fêtes de Noël, comme de par nazard. Ah la la, il est beau notre ministre de la culture qui vient nous faire des discours à France Europe Express (bon, ok, je n'ai pas vu l'émission grâce à une merdouille tout à fait exceptionnelle au boulot), mais j'ai l'impression que tout le monde s'échauffe autour de ce problème de société (sic).

Bon, là ce qui fait grand bruit, c'est les gens qui se sont fait chopper à télécharger des mp3 pour eux. Oui, je sais, il faut bien prendre quelqu'un pour l'exemple, et là ils ont choisi une nana (pas de discrimination) et la menacent de 300 000 € d'amende et de 3 ans de prison. Si en plus elle avait piqué la sucette d'un bébé ils auraient été jusqu'à lui filer un an d'inéligibilité à cette salope. Non, je plaisante bien évidement, ça c'est réservé aux crimes plus importants.

Ah la la, pourtant il suffit de faire comme ces courageuses maisons de disque pour lutter contre le piratage :

1) Mettre un Copy Control sur le CD. Ultra efficace. Impossible de graver le cd comme ça vous ne pourrez pas le pirater, ce cd que vous venez à peine... d'acheter. Oui, déjà à ce simple stade de la réflexion on se rend compte de la connerie du truc. C'est à dire que le premier type embêté sur la chaîne, c'est celui qui a légalement acheté son disque. Bon, en plus c'est tellement performant que ça fait planter certains pc windows, ne marche pas toujours voir jamais sous Mac OS et Linux, n'accepte pas tous les autoradios, et magnificence parmi la beauté de l'oeuvre, vous oblige à le lire au travers d'un programme minable au plus bas niveau, souvent dans une qualité exécrable et avec peu d'options.

Merci EMI de penser à tous ces couillons à qui vous empêchez d'utiliser comme ils le souhaitent leur achat pour ensuite se faire leur propres compilations ou bien mettre les morceaux sur leur lecteurs mp3. D'ailleurs c'est rigolo parce que moi il m'arrive parfois d'avoir des albums en pirate qui me plaisent et je serais prêt à me les acheter mais en fait vu que le copy control fait planter mon pc je freine immédiatement mon achat. Vous ne trouver pas ça génial ? Vous avez choisi une solution tellement minable que ça fait l'inverse de ce que vous espériez !

2) Autre idée mirifique : passer le prix de tous les cds neufs ou anciens à 20 euros en moyenne. C'est vrai, il y a toujours une bonne occaz par ci, une autre par là, mais dès que vous cherchez un album en particulier, hop, 15, 20, 22 euros, tranquille, comme ça. C'est sûr, j'ai tout de suite envie de m'en acheter plein des albums. Peut-être que s'ils misaient plus sur des artistes de qualité au lieu de dépenser des sommes astronomiques pour promouvoir des artistes fades et sans talent dont on ne veut pas ils pourraient faire des économies et répercuter ça sur les prix, non ?

Bref, l'industrie du disque ne traverse pas une crise, elle traverse juste la même dure réalité des choses que rencontrent tous les secteurs qui essayent de nous faire acheter des sous-produits au prix fort en les faisant passer pour uniques et indispensables.

What da fuck vous avez dit ?


jeudi, décembre 09, 2004

Si tu sélectionnes le texte de ce message tu verras apparaître un message du père noël
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_,|,,


Bein alors, tu crois encore au père noël à ton âge ?


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Bonnes fêtes de fin d'année !!!

dimanche, décembre 05, 2004

What da fuck ?

J'inaugure cette rubrique de post dédiée à des petites choses de la vie quotidienne qui m'interpellent ou qui m'agacent.

Aujourd'hui.....
L'hypocrisie du traitement fumeurs/non fumeurs dans les établissements.

Et oui, je ne sais pas si vous avez remarqué, mais la séparation entre les zones fumeurs et non fumeurs tiennent souvent plus de la barrière psychologique que de d'une réelle séparation salvatrice de poumons et d'yeux fragiles.

Avez vous déjà remarqué l'hypocrisie avec laquelle la serveuse vous accompagne à votre table en traversant une zone empestant la fumée et vous assied finalement à une table située derrière une pauvre barrière en bois. Ouah, intelligente la fumée, elle sait qu'elle ne doit pas dépasser la barrière sinon elle va se faire taper sur les doigts.

Pareil dans un autre restaurant, la limite est marquée par un pilier. Et les employés osent vous dire ça sans rire. Bein voyons, on croirait les nuages radioactifs de Tchernobyl qui s'arrêtaient piiiiiiiiiile à la frontière française.

Aller, une petite dernière pour rigoler, la SNCF qui nous fait la même, des wagons mi-fumeurs, mi-non fumeurs. ah ah ah, pareil, la fumée contrôle son billet et vois qu'elle ne pourra pas dépasser les deux plaques de plastique qui délimite bien les zones (quoi que je la soupçonne de profiter de l'ouverture d'un mètre faite entre ces deux plaques pour permettre aux voyageurs de passer).

Remarquez, la SNCF c'est la même qui dans ses TGV a mit les wagons fumeurs juste avant les wagons bar. C'est a dire que si t'as faim, tu te traverse en apnée un wagon bien puant, puis t'arrive au bar où ton coeur fait un emballement cardiaque quand t'entends le prix de la bouteille d'eau ou du sandwich jambon beurre ("Mais on est au Zenith ici ?" "Non non monsieur, vous êtes dans un train).

Bref, ce n'est pas encore gagné... (A quand des bars non fumeurs bon sang !!!)