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vendredi, mars 25, 2005

Ô Vendredi soir

Encore un vendredi soir,
à huit heures et quart.
Me voilà à rester tard,
sans même un " au revoir",
de la fille qui me fait veiller tard...
Si je tarde à l'émouvoir,
je crains d'atteindre le désespoir !

Oh merde, un soupçon de poésie maintenant.

Je crois vraiment que ça s'aggrave là...

Le printemps va décidement être trèèèèès long.